L'art de la compétition n'est pas seulement lié à la victoire.
Il est lié à ce que vous avez fait pour y parvenir. Et encore mieux, à ce que vous avez arrêté de faire.
Les sacrifices, l'entraînement, les heures de sommeil perdus, la souffrance, la douleur dans vos jambes, la préparation, les manies, les conseils, la concentration…
Les supporters, les cris, votre équipe, une main qui vous aide à atteindre ce col, les encouragements sur les bords de la route… La satisfaction après un bon entraînement, le plaisir du travail en équipe pour atteindre un but commun. La joie que peut apporter la victoire d'un autre coureur après une étape difficile, les félicitations des adversaires…
Ceux qui vous aident à gagner sans jamais franchir la ligne d'arrivée : les kinés, les médecins, le service de presse, votre grand-mère, votre sœur, cette personne qui vous a appris à faire du vélo… Ceux qui ne sont pas sur la photo ou qui sont coupés, en marge, car ils ne sont pas au centre de toutes les attentions, mais ils sont essentiels pour que tout se déroule sans accrocs.
L'art de la compétition est lié à des valeurs et au respect de ces dernières pour franchir la ligne d'arrivée. Si vous êtes le premier ou la première, le champagne et le bouquet de fleurs du vainqueur seront pour vous, mais nous pensons qu'il faut encore continuer à pédaler après. Parce qu'après, il y en aura d'autres.
Plus grandes, plus compliquées, à côté desquelles celles réalisées sembleront minimes.
L'art de la compétition consiste à ne pas se laisser vaincre, jamais. Même lorsque nous perdons.
L'art de la compétition consiste à ne pas arrêter de pédaler, jamais.
Que savez-vous de la compétition et d'Orbea ? Tout au long du mois de mai, nous vous poserons différentes questions à ce sujet sur nos réseaux sociaux et les personnes les plus calées sur notre histoire pourront gagner d'importantes récompenses.